La curcumine est une substance bien connue qui a été largement utilisée pendant des siècles dans la médecine ayurvédique traditionnelle. La science moderne a fourni une base solide pour de tels usages et les essais cliniques actuels font de la curcumine l’un des composés naturels les mieux étudiés à ce jour.
La curcumine possède de puissantes activités antioxydante et anti-inflammatoire. D’ailleurs, il a été démontré que la curcumine est aussi efficace qu’une forte dose d’ibuprofène1. La curcumine a également démontré une efficacité antidouleur supérieure au diclofénac chez les patients souffrant de polyarthrite rhumatoïde2.
Au niveau digestif, des études in vitro indiquent que le curcuma a des effets protecteurs sur la muqueuse gastrique et qu’il peut détruire ou inhiber la bactérie Helicobacter pylori, responsable de la plupart des ulcères gastriques et duodénaux3,4.
La Commission E et l’Organisation mondiale de la Santé reconnaissent l’efficacité des rhizomes du curcuma pour traiter la dyspepsie, c’est-à-dire des troubles digestifs, comme les maux d’estomac, les nausées, la perte d’appétit ou les sensations de lourdeur.
La curcumine agit également dans la prévention et le traitement du diabète : des recherches récentes ont confirmé le rôle important de la curcumine dans la prévention et le traitement du diabète et de ses troubles associés5.
Au niveau du système nerveux, des études ont montré l’efficacité dans la maladie d’Alzheimer6. Une autre étude suggère que la curcumine peut stimuler la neurogenèse de l’hippocampe et peut améliorer la plasticité neurale et la réparation7.
Enfin, les chercheurs pensent que les effets antioxydants et anti-inflammatoires de la curcumine peuvent jouer un rôle dans la prévention et le traitement du cancer8.
La biodisponibilité du curcuma : une limite à son efficacité
La curcumine seule n’est pratiquement pas absorbée par l’organisme et passe simplement par les voies gastro-intestinales.
Pour améliorer la biodisponibilité de la curcumine, de nombreuses approches ont été entreprises comme ajouter de la pipérine, employer un complexe de curcumine liposomale ou des phospholipides de curcumine, utiliser des nanoparticules de curcumine, de la gamma-cyclodextrine, des émulsifiants de synthèse tel que le polysorbate 80… Toutes ces techniques permettent d’augmenter la biodisponibilité de la curcumine (jusqu’à 185 fois par rapport à une curcumine classique dosée à 95 %) mais ce qui reste encore limité. De plus ces techniques utilisent souvent des méthodes controversées comme l’utilisation de nanoparticules ou d’excipients synthétiques contestés.
La meilleure solution : les galactomannanes de curcuma
Aujourd’hui, la meilleure solution pour améliorer la biodisponibilité des curcuminoïdes naturellement est d’utiliser une technique brevetée d’encapsulation par des fibres solubles de fenugrec, dérivées de galactomannanes, ce que propose l’actif breveté NutriPhy® Curcumin 102.
Cette solution est naturelle et 100 % végétale avec une traçabilité complète des extraits de curcuma et de fenugrec tout au long de la chaîne d’approvisionnement et une communication transparente sur les méthodes analytiques utilisées pour standardiser les extraits, pour une curcumine dont la biodisponibilité est étayée par des études cliniques. Comparé à un extrait standard de curcuma titré à 95 % en curcumine, cette solution est 270 fois plus biodisponible (selon la méthode AUC).
NUTRIPHY® Curcumin 102 offre une concentration élevée de curcuminoïdes (minimum 35 %) et la concentration plasmatique de curcuminoïdes est détectée jusqu’à 24 heures après la prise.
Une synergie avec de la quercétine par exemple, un antioxydant et anti-inflammatoire reconnu ainsi que de la vitamine E qui contribue à protéger les cellules contre le stress oxydatif permettront de renforcer l’efficacité du produit.
Enfin, avant de choisir votre supplémentation, n’oubliez pas de regarder les autres ingrédients qui composent le produit.
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Sources :
1 – Vilai Kuptniratsaikul et al., « Efficacy and safety of Curcuma domestica extracts compared with ibuprofen in patients with knee osteoarthritis: a multicenter study », Clin Interv Aging 9 (2014): 451–8.
2 – Binu Chandran et Ajay Goel, « A randomized, pilot study to assess the efficacy and safety of curcumin in patients with active rheumatoid arthritis », Phytotherapy research 26, no 11 (2012): 1719–1725.
3 – Antimicrobial activity of curcumin against Indian Helicobacter pylori and also during mice infection. De R, Kundu P, et al. Antimicrob Agents Chemother. 2009 Feb 9.
4 – Comparative antiulcer effect of Bisdemethoxycurcumin and Curcumin in a gastric ulcer model system. Mahattanadul S, Nakamura T, et al. Phytomedicine. 2009 Jan 31.
5 – Curcumin and Diabetes: A Systematic Review. Evid Based Complement Alternat Med. 2013; 2013: 636053.
6 – Curcumin: a natural substance with potential efficacy in Alzheimer’s disease. J Exp Pharmacol. 2013 May 2;5:23-31. doi: 10.2147/JEP.S26803. eCollection 2013.
7 – Curcumin Stimulates Proliferation of Embryonic Neural Progenitor Cells and Neurogenesis in the Adult Hippocampus. J Biol Chem. 2008 May 23; 283(21): 14497–14505.
8 – Anticancer and carcinogenic properties of curcumin: considerations for its clinical development as a cancer chemopreventive and chemotherapeutic agent. López-Lázaro M. Nutr Food Res. 2008 Jun;52 Suppl 1:S103-27. Review.