L’endométriose ainsi que le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) constituent des pathologies partageant une prévalence similaire au sein de la population féminine en âge de procréer, touchant chacune près d’une femme sur dix.
Néanmoins, en dépit de cette similitude, il convient de souligner que ces deux conditions présentent des caractéristiques et des impacts distincts sur la santé, nécessitant ainsi des approches diagnostiques et thérapeutiques spécifiques pour chaque cas.
L’endométriose se caractérise par la présence de cellules semblables à celles de la muqueuse utérine (endomètre), normalement confinées à l’intérieur de l’utérus, mais qui, dans ce cas, migrent au-delà de leur emplacement habituel. Ainsi, ces cellules viennent s’implanter dans les organes avoisinants (ovaires, intestin, vessie…) tout en continuant de réagir aux fluctuations hormonales lors de chaque cycle menstruel.
Comme ces cellules ne peuvent pas être éliminées de la même manière que le seraient les cellules de l’endomètre pendant les menstruations, ce phénomène génère une réaction inflammatoire locale, cyclique et souvent liée à une douleur invalidante. De plus, on estime que près de 30 % des cas d’infertilité seraient dus à l’endométriose, complexifiant le parcours de conception1. Les origines exactes de ce trouble demeurent partiellement comprises, mais il est largement admis que des facteurs génétiques, hormonaux et environnementaux contribuent à son développement.
Le SOPK, quant à lui, trouve son origine dans un déséquilibre hormonal se traduisant par des niveaux excessifs d’androgènes (hormones masculines). Ce phénomène se manifeste par la présence de kystes ovariens mais également par des cycles menstruels irréguliers, une hyperandrogénie (hyperpilosité, acné, perte de cheveux) ou un trouble métabolique (surpoids, diabète…). En perturbant les processus d’ovulation, ce déséquilibre hormonal entraîne également des obstacles à la conception chez les femmes concernées (1ère cause d’infertilité en France)2.
En dépit des défis que représentent ces affections, les progrès de la recherche offrent des approches naturelles et efficaces permettant d’améliorer la qualité de vie des femmes concernées.
Une association synergique de Pycnogenol®, thé vert, gattilier et d’achillée millefeuille peut aider à maintenir un bon confort féminin, en particulier avant et pendant le cycle menstruel.
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Références :
- EndoFrance –Qu’est-ce que l’endométriose ? 31.07.2023.
- Inserm – La science pour la santé. Syndrome des Ovaires Polykystiques (SOPK)