« Finalement bien se nourrir c’est extrêmement simple ! »
Propos recueillis par Jade Perraud
Marion Kaplan est bio-nutritionniste, spécialisée en médecines énergétiques, et depuis une trentaine d’années, elle a axé ses recherches sur la compréhension des sources des maladies des êtres humains et sur les moyens, sinon de les guérir, du moins de les conserver en bonne santé par une politique de prévention. Cela l’a conduite à définir une méthode originale de préparation et de cuisson à la vapeur des aliments qui préserve la totalité des nutriments vitaux, tout en éliminant les graisses et les toxines qui surchargent et fragilisent l’organisme.
Jade Perraud : Bonjour Marion Kaplan. Pouvez-vous nous expliquer comment vous êtes arrivée à la « nutrition santé ».
Marion Kaplan : Comme beaucoup de monde quand on a des problèmes de santé, on se bouge et on change ses habitudes. Je suis née en 1956 et j’ai eu des problèmes de santé très tôt. Et je me suis réveillée à l’âge de 14 ans. J’ai pris conscience de mon corps grâce à un végétalien vivant dans les Cévennes qui m’a dit : « Marion, tu ne peux pas grossir comme ça ! » C’est grâce à lui que je suis partie sur le chemin, par le jeûne, et en suivant une alimentation végétalienne pendant 3 ans.
Mais au bout de 3 ans, quand mes dents ont commencé à se déchausser et que j’avais 8.5 de tension, j’étais encore sous le pouvoir de ma mère qui m’a dit « maintenant tu arrêtes tes conneries ». J’ai donc arrêté mes « conneries » ; j’ai recommencé à manger comme avant et mes problèmes ont récidivé encore plus fort qu’avant, avec des migraines, de la constipation chronique, des problèmes intestinaux graves qui ont évolué en maladie de Crohn d’ailleurs. Et maintenant je n’ai plus rien !
Jade Perraud : Comment cela est-il possible ?
Marion Kaplan : C’est un long cheminement, car vous savez bien que dans ce domaine, beaucoup de thérapeutes y vont de leur spécialité. Quand vous les écoutez, vous avez l’impression que si on ne les avait pas rencontrés, on serait mort ! Et que sans eux il n’y a pas d’autre solution. Et bien si ! En fait, il y a plein de solutions ! Mais chacun a son chemin. Et chacun va rencontrer le thérapeute qui est à son niveau ou qui va lui permettre de franchir un niveau.
Sur ce chemin de santé, il faut toujours rester ouvert et ne pas rester figé sur des a priori ou sur des croyances. Il y a des gens, par exemple, qui vont manger des céréales ou des légumineuses parce qu’on leur a dit que c’était bon pour la santé, et qui pourtant peuvent être perturbés par leur consommation mais qui continuent, attribuant leurs désagréments à autre chose ; dans mon cas, si vous me donnez des céréales, même sans gluten, vous m’empoisonnez. Il faut être à l’écoute de son corps et de son âme. C’est tout un apprentissage pour juger ce qui est bon ou nuisible pour vous.
Jade Perraud : Comment vous êtes-vous intéressée à la cuisson vapeur ? Et comment est né le vitaliseur ?
Marion Kaplan : Ce fut un déclic dans les années 80. J’étais journaliste et je m’occupais des pages régionales de Paris-Match. Je faisais des chroniques. C’est lors de l’un de ces reportages que j’ai rencontré Alex Métayer qui pour moi, après Coluche, est l’un des plus grands humoristes. Sa rencontre a occasionné un grand bouleversement chez moi. A la suite d’une rupture affective, je suis partie avec lui en tournée pendant 6 mois. C’est lors de cette tournée qu’il m’a dit « Je vais te faire rencontrer un monsieur spécial à Marseille.» Il était INCROYABLE ! il faisait de la cuisson-vapeur dans son restaurant. C’était génial : je n’avais jamais mangé de choses aussi bonnes ! mais quand vous l’écoutiez, il vous faisait peur !
Souvenez-vous, dans les années 80, la cuisson-vapeur c’était la cocotte-minute, point barre ! Il y avait éventuellement des couscoussiers en aluminium avec des petits trous pour le couscous, mais vous connaissez la toxicité des métaux lourds et de l’aluminium ! Donc je suis allée dans ce restaurant et j’ai dégusté un magnifique filet de bœuf cuit à la vapeur avec ses petits légumes et une sauce sublime à base de fonds, vous savez les bouillons.
J’étais tellement surprise de digérer sans problème et de me sentir légère après le repas que cela m’a littéralement bouleversée. Le lendemain nous y sommes retourné et je lui ai demandé son secret ! Il avait le vitaliseur qui s’appelait le vap’ok. Mais attention il y a une société qui a copié ce nom car je ne l’avais pas protégé. Il ne faut pas confondre avec le vapok d’aujourd’hui qui est commercialisé par Nature et vitalité, qui avait été mon distributeur pendant onze ans du Vitaliseur. Je ne me suis pas méfiée… Je suis une enthousiaste qui s’intéresse à la recherche pour comprendre et expliquer mes compréhensions à travers des livres. Le prochain va sortir chez Thierry Souccar et s’intitulera La Paléobiotique.
Jade Perraud : Vous pouvez nous expliquer les différences ?
Marion Kaplan : Son cuit vapeur a un chapeau façon tajine. Cela n’a rien à voir. J’ai travaillé à l’époque sur des normes énergétiques Au départ, il n’y avait qu’un dôme qu’on mettait normalement sur les plats. J’ai fait refaire les moules pour qu’ils répondent aux ondes à émission de forme. A l’époque j’ai utilisé comme outil de détection, l’antenne de Lecher et je me suis entourée de plusieurs personnes compétentes pour vérifier la précision de la courbe qui devait répondre à ces exigences.
J’ai ensuite agrandi les trous du tamis qui sont passés de 5 mm à 6 mm, afin qu’ils répondent au calcul du nombre d’or. Pourquoi ne pas mettre le nombre d’or sur un matériel ? Léonard de Vinci l’a bien fait, alors pourquoi pas dans un ustensile de cuisson ? Aujourd’hui, les techniques se sont affinées et je suis en train de faire des analyses en électro-photonique dans un laboratoire agrée par le ministère de la recherche : on voit ainsi la biocompatibilité des photons avec une personne, que l’aliment soit cru, bouilli ou passé à la vapeur. Ce sont des analyses plus fiables et plus scientifiques que les cristallisations sensibles qui demandaient 21 jours de maturation pour avoir les résultats.
Jade Perraud : A vous écouter on se rend compte que tout cela va beaucoup plus loin que la simple cuisson vapeur. La cuisson va respecter la qualité vibratoire des aliments.
Marion Kaplan : Tous les radiesthésistes que j’ai rencontrés ont été conquis. Je leur disais de prendre leur pendule et de mesurer un œuf. Ensuite de le passer 20 secondes à la vapeur dans mon vitaliseur, et de refaire la mesure. L’œuf montait en vibration. J’avais travaillé avec une nommée Suzanne Nadal. C’était une radiesthésiste très compétente qui avait travaillé avec Etienne Guillé. Je l’avais rencontrée dans les années 1985 quand je commençais à commercialiser le Vitaliseur. C’est elle qui m’a fait découvrir ce monde de la radiesthésie.
Jade Perraud : Une question sur le gluten. Pourquoi selon vous est-il mauvais pour la santé ?
Marion Kaplan : Je vous le dis : toutes les céréales d’aujourd’hui sont toxiques pour l’être humain. On va le découvrir de plus en plus. Regardez ce qui s’est passé depuis la guerre de quarante. La révolution verte avait commencé bien avant, mais tout s’est fortement aggravé depuis la guerre. On a bidouillé le vivant, hybridé, trituré l’ADN du blé à tel point qu’aujourd’hui il contient 40 fois plus de gluten que les blés anciens.
Rendez-vous compte ! On est passé de 14 chromosomes à 42 ! Or, il ne faut pas oublier que chez un être humain, si vous changez un seul chromosome, vous pouvez être trisomique. Comment voulez-vous qu’on ait assez de recul pour juger des conséquences de ces manipulations génétiques ? Regardez toutes ces maladies de civilisation, dites émergentes dont on parle maintenant. En 1800 par exemple elles n’existaient pas ou très peu. Les maladies qui ont monté en flèche depuis les 50 dernières années sont, l’obésité, le diabète et le cancer. Et toutes les maladies auto-immunes qui étaient plus que rares, sont devenues émergentes aujourd’hui.
Tout cela entre autres, à cause du sucre, des céréales et de la « malbouffe » industrielle. Les maladies de Crohn, les rectocolites hémorragiques, les troubles digestifs etc. C’est à cause de la consommation outrancière du blé et des produits laitiers de vache. Parce que la caséine se comporte comme le gluten dans l’intestin. Au bout d’un certain temps, elle fragilise les mailles du filet, puis le perce. La caséine comme le gluten se retrouvent dans le flux sanguin sans être phagocytés et se transforment en gluten-morphine et caséo-morphine.
On est dans une incompatibilité enzymatique. Quand on pense qu’il faut 70 000 ans pour changer un gène de 0.2 % ! Comment voulez-vous vous adapter à des véritables tsunamis chimiques, aux xénobiotiques, aux pollutions environnementales, en plus des changements alimentaires où les agriculteurs dépendants des lobbies sont en train d’hybrider le vivant et de le transformer de telle manière qu’il ne sera plus compatible avec le vivant !
Le blé d’aujourd’hui ne peut plus pousser sans la main de l’homme : merci Monsanto ! Hélas, l’épeautre contient également du gluten. Ne croyez pas qu’en mangeant de l’épeautre cela ira mieux ! En fait c’est tout le secteur de l’agroalimentaire industriel qui est néfaste. Ça ne sert plus à rien de lire les étiquettes : il ne faudrait rien manger d’industriel. Il ne faudrait manger que des produits naturels. La viande par exemple, devrait être impérativement bio et vous devriez connaître l’élevage dont elle est issue. Allez dans des magasins bio ou dans des AMAP, ou bien commandez par internet.
Renseignez-vous et essayez de trouver un bon éleveur qui nourrit ses bêtes à l’herbe en liberté. Heureusement, il y a encore des agriculteurs intelligents et responsables. Vous devriez boycotter les grandes surfaces – à part celles de bricolage bien sûr ! Même pour nettoyer votre vaisselle prenez du citron et faites le ménage au vinaigre d’alcool et au bicarbonate de soude, pas besoin d’autre produit.
Jade Perraud : Pourtant les grandes surfaces aussi se sont mises au bio !
Marion Kaplan : Mais non ! C’est du faux bio ! Leurs produits sont plus chers que dans les AMAP ou les coopératives. Les légumes ont poussé sous serre. Ce n’est pas du bio ça ! Le vrai bio c’est Demeter, Nature et Progrès, des gens comme ça ! Ou alors les vrais petits paysans qui travaillent en permaculture, ou en agriculture raisonnée pour les végétaux, cela, c’est correct. Mais le bio des grandes surfaces ce sont encore des grandes marques qui vont rajouter des excipients ou des conservateurs.
Jade Perraud : Vous nous avez parlé de la Paléobiotique ; vous pouvez nous en dire plus ?
Marion Kaplan : Il faut remettre les pendules à l’heure par rapport à ce mouvement sur le paléo qui est en train d’émerger.
L’alimentation paléo c’est observer les règles suivantes : on ne consomme pas les produits qui n’existaient pas il y a 12 000 ans, c’est-à-dire depuis que l’homme est devenu sédentaire. Donc on revient aux chasseurs-cueilleurs qui mangeaient de la viande sauvage ou en tout cas naturelle, du poisson, des légumes, des racines, des amandes, des oléagineux mais ils ne mangeaient pas d’aliments issus de la monoculture, c’est-à-dire les céréales et les légumineuses.
Il faut néanmoins faire la distinction sur les cuissons. Certes ils utilisaient le feu et faisaient rôtir leur gibier devant la braise, mais ils faisaient attention à ce que cela ne brûle pas. De plus, ils n’avaient pas le même mode de vie que nous : ils étaient toujours en train de marcher, courir et se dépenser. Alors que nous, pour aller au bureau, nous sommes confortablement assis dans nos voitures… Biotique, cela signifie ami de la vie. J’ai écrit des chapitres sur le microbiote et les distinctions entre les flores intestinales.
Pour retrouver la santé ou l’entretenir, il faudra observer 3 étapes.
La troisième étape étant une phase plus tolérante car je sais que c’est difficile de se discipliner sur le long court. Pour ma part, je mange à 70 % selon la première étape que vous découvrirez dans l’ouvrage (pub, rires), mais je sais que les gros gourmands auront du mal dans un premier temps.
On peut ensuite tolérer le chocolat, certaines légumineuses en très petites quantités, mais vous devrez toujours observer vos réactions. Vous pouvez ajouter de temps en temps un peu de riz complet selon votre activité physique.
Mais dans la première étape, on doit être très strict. Vous avez dû constater, tout comme moi, qu’il y a de plus en plus de gens malades ! Cela fait presque partie de notre quotidien ! Quand on vieillit, on comprend qu’il faut être vigilant pour s’adapter. S’adapter sur le plan physiologique, environnemental, et psychologique. Notre société, mais aussi le travail que l’on doit faire sur soi, nous obligent à régler nos conflits et à ouvrir notre conscience.
Vous devez connaître les travaux du Dr Hamer. Pour être en bonne santé vous devrez toujours travailler sur les deux plans : si vous avez un conflit et qu’en plus vous mangez mal, alors là c’est la maladie assurée. Alors qu’en mangeant bien, vous êtes capable de mieux surmonter le conflit. Mais si vous mangez bien, cela veut dire que vous savez vous remettre en question, et vous discipliner. Vous savez donc prendre des décisions et régler vos conflits.
Vous savez, l’être humain est faignant et déteste se remettre en question. Car être responsable, ça fait peur ! C’est tellement plus simple de se positionner en tant que victime ! Comme ça, on n’est pas responsable. Apprendre qu’on a un cancer passe toujours pour de la fatalité, alors que vous savez que cela fait souvent des années qu’on est en train de le développer avec notre malbouffe et nos comportements inconscients. Votre cancer ça fait peut être 20 ans que vous l’avez initié en mangeant Mac Do, en buvant du coca, en prenant des apéros quatre fois par semaine avec vos copains, en ne faisant pas attention et en fumant votre paquet de cigarettes ! Et c’est le conflit qui va faire exploser tout ça ! On peut quand même être touché en ayant une vie irréprochable, il faut alors faire une véritable enquête sur ses aïeux et leurs antécédents. La vie et la santé sont un long chemin d’apprentissage. Hélas, on se remet souvent en question quand c’est bien tard !
Jade Perraud : C’est un peu le problème des Français : ils vont chez les praticiens de Santé Naturelle quand ils ont l’impression que la médecine allopathique est inefficace pour eux.
Marion Kaplan : Pas seulement les Français ! Le monde entier fonctionne ainsi. L’Homme n’aime pas se remettre en question. Il va au plus simple, alors que les bouddhistes disent : « entre deux chemins, choisis toujours le plus difficile ». Car c’est celui-là qui va te faire grandir.
Jade Perraud : Si une personne désire arrêter la malbouffe : par quoi doit-elle commencer ?
Marion Kaplan : Elle achète mon livre « J’arrête la malbouffe » ! rires… Blague à part, j’écris des livres pour être utile aux personnes désireuses de se remettre en question car j’ai passé ma vie à étudier et j’ai compris comment cela fonctionnait. J’adore expliquer, vulgariser, et je sais me mettre à la place des gens, car j’y suis passée. Alors oui, en 21 jours on peut changer. Mais pour changer, il faut comprendre.
Je fais de nombreuses conférences pour aider les gens à se prendre en mains, et je dois dire que souvent, ça marche ! En sortant, Ils ne peuvent plus manger comme avant. Dans mon livre, je fais un coaching en donnant des explications chaque jour. Ce sont de vrais outils pour avancer. Je planifie divers petits déjeuners et des repas qui permettent de se structurer. J’explique sur quoi ils peuvent craquer. Il ne faut pas croire que cela ne concerne que les gens qui vont chez Mac Do ! La malbouffe est aussi chez les gens qui s’intéressent à la diététique et qui se bourrent souvent de produits trop riches, sous prétexte qu’ils sont bio. Et bien ça, ce n’est pas juste !
Jade Perraud : Une journée idéale au niveau de l’alimentation, ce serait quoi selon vous ?
Marion Kaplan : J’ai écrit mon petit déjeuner préféré dans ma gazette : c’est la crème KACO inspirée de la recette du docteur Kousmine que j’ai légèrement modifiée. Midi et soir un peu de protéines animales de qualité irréprochable : poissons, œufs bio, foies de volaille bio, tout en évitant les mammifères ; – (Si un jour vous avez vraiment envie de craquer sur un bon filet de bœuf, choisissez le provenant d’une vache qui ait mangé de l’herbe toute sa vie et qui soit allée à l’abattoir, je dirais sereinement, si cela peut encore exister : car la vache ne sait pas qu’elle va mourir ! Nous sommes les seuls êtres sur terre à le savoir).
Au moins 70 % de légumes : crus ou cuits à la vapeur douce, cela dépend de votre microbiote. Par exemple, ceux qui ont des problèmes de ballonnements devront consommer un peu de jus de légumes et manger des légumes vapeur. Car vous savez qu’on a absolument besoin de fibres. C’est là que le Vitaliseur devient très utile pour changer d’alimentation.
Vous devrez rajouter des bonnes huiles bio pressées à froid : huile d’olive, huile de lin, par exemple et huile de coco. Personnellement je n’aime pas l’huile de colza parce que, même si elle est bio et riche en oméga 3, elle a été hybridée par l’homme pour la réduire en acide érucique. On peut aussi utiliser l’huile de noix bio. Respectez la proportion 2/3 d’huile d’olive, et 1/3 autre d’une autre riche en omégas 3.
Vous pouvez prendre un peu de beurre. Le seul que je garantisse, est celui de Bernard Gaborit : il a un élevage de vaches jersiaises élevées à l’herbe. C’est un élevage bio bien sûr. Ces bêtes sont extraordinaires : leur chair contient des omégas 3, mais également leur beurre. Pour les intolérants au lactose, vous pourrez le clarifier vous-même ; il suffit de mettre un bol sur le tamis du Vitaliseur avec le beurre. Une fois fondu, laissez le reposer puis faites le durcir au frigo. Le lendemain tout le blanc a coulé ; ce blanc contient la caséine et le lactose. Vous ne garderez que le jaune.
On peut utiliser aussi un peu de graisse de coco qui protège les artères et qui peut même se cuire. Finalement bien se nourrir c’est extrêmement simple ! Mais on est tellement à contre-courant de la société qui ne nous offre que les choses transformées par l’industrie, les gens sont tellement endormis par tout ça – ça fait des décennies qu’on nous vend du sucre sous toutes ses formes, des médicaments, des statines. On a empoisonné des millions de gens et ça passe inaperçu ! Heureusement que les gens qui lisent Copmed, ne vont pas chez Mac Do ! Il est temps de se remettre en question !
Jade Perraud : Aujourd’hui il y a une polémique au sujet de l’utilité des probiotiques.
Marion Kaplan : La polémique vient du fait que les gens mangent des probiotiques n’importe comment. Il faut d’abord désinfecter la flore : si on ne désinfecte pas son intestin et qu’on rajoute des probiotiques, alors oui c’est une catastrophe ! Moi je suis née par césarienne et élevée au lait de vache ! Alors ma flore, c’est celle de la salle d’accouchement avec les antiseptiques et les mains des infirmières ! En revanche, si vous désinfectez avec des huiles essentielles ou que vous faites un peu d’irrigation colonique, ou le protocole conseillé par COPMED, alors ça fonctionne.
Moi je l’ai fait, et ensuite j’ensemence ma flore chaque jour avec du K philus à la brebis de Mme Klein (http://www.vitaliseurdemarion.fr/officiel/probiotique-dexception-k-philus). Certains probiotiques vont convenir à certaines personnes. Mais attention il faut d’abord désinfecter l’intestin. Le docteur Donatini a un très bon protocole de désinfection de l’intestin. Là où je diverge un peu, c’est que je prends ce Kphilus qui est un probiotique alimentaire très spécial.
Jade Perraud : En effet il est important de choisir un bon probiotique. Les laboratoires COPMED ont dans leur gamme PROBIOTIQUES 10 Md, une synergie de 7 souches de probiotiques associées à de l’inuline de chicorée (action prébiotique). Si l’on veut bien nettoyer l’intestin avant de prendre des probiotiques, les laboratoires COPMED proposent dans leur gamme AROMA GASTRO-INTESTINAL.
Jade Perraud : Une dernière question, Marion : quelle est votre ou vos plus belles réussites ?
Marion Kaplan : Mais je n’ai que des réussites ! Rires… Mes enfants, avec qui je travaille, sont une très belle réussite ! Nous travaillons ensemble en bonne complicité et cela fonctionne très bien. Ma vie affective, après être passée par de grands chaos (ma mère s’étend mariée 6 fois – mon père 4 – ce qui fait 10 à eux deux ! J’ai été très chahutée sur le plan affectif) j’ai enfin trouvé la paix en 2010. Et enfin je dirais ma maison, parce que j’y ai incarné toutes mes connaissances.
Jade Perraud : Et bien merci Marion Kaplan. Je rappelle que votre livre « La paléobiotique » aux éditions Thierry Souccar sera disponible en novembre.
Marion Kaplan : Merci à vous et très bonne journée.
http://vitaliseurdemarion.fr/officiel/
© Laboratoires Copmed
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La revue Les Cahiers de la Bio-énergie est une publication trimestrielle des Laboratoires Copmed.
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