À l’occasion de sa 72e assemblée mondiale de la santé, l’OMS a défini le burn-out comme un phénomène lié au travail se caractérisant par une efficacité professionnelle réduite et par un sentiment d’abattement et de négativisme.
Physiologiquement, le stress va se traduire par une stimulation des glandes surrénales pour produire de l’adrénaline et du cortisol, deux neuromédiateurs visant à mobiliser l’énergie nécessaire pour sortir de cet état de trouble (phase de burn-in).
Si la situation perdure, il va s’ensuivre un épuisement glandulaire causant la chute des taux hormonaux, c’est le véritable burn-out. Il est invraisemblable d’éviter le stress toute sa vie, cependant, il est possible de mieux s’armer pour y faire face.
Dans les cas de burn-in, la priorité sera de diminuer le taux de cortisol avant la transition en burn-out. Pour cela, la rhodiola est la plante adaptogène la plus conseillée.
Dans les cas où le burn-out serait déjà installé, il conviendra de relancer la synthèse hormonale. On pense notamment au cassis pour le cortisol, à la L-tyrosine pour la dopamine puis au griffonia pour la sérotonine. Attention également à ne pas négliger la carence en magnésium, liée à l’excès d’adrénaline, qui amplifie les effets ressentis du stress. Les fleurs de Bach, la sophrologie ou la méditation sont également des techniques bénéfiques, mais qui ne se substituent en aucun cas à un accompagnement médical adapté à la prise en charge du burn-out.
, Dopanergil® et Magtorine®