Décrit comme un véritable fléau, le stress résulte des difficultés auxquelles chaque individu se trouve confronté. En effet, plus d’un français sur deux de plus de 55 ans est concerné par le stress1.
Le stress est souvent qualifié de négatif, mais celui-ci n’est pas toujours mauvais. C’est avant tout une sensation et une réaction normale. Le « bon stress » permet d’être en pleine possession de ses capacités, il est d’ailleurs aussi appelé « zone optimale de performance » et est généralement temporaire, alors que le mauvais stress rend moins productif ou démotive et peut durer plus longtemps.
Ainsi, pour différencier le « bon stress » du « mauvais stress », il convient d’identifier la source de son stress et la durée de la phase de ce dernier. En situation de « mauvais stress », l’organisme rentre en phase d’épuisement (épuisement moral et physique, épisodes de déprimes, troubles de l’humeur, perte ou prise de poids…).
Lors de ces périodes de stress, la phytothérapie peut être un très bon allié. Les plantes aux propriétés adaptogènes comme la rhodiola aident l’organisme à s’adapter au stress émotionnel et aident à réduire la fatigue liée au stress. La mélisse soutient la relaxation et le bien-être physique et mental. La ballote, apaisante et relaxante, favorise la détente et contribue à un bon équilibre nerveux. Elle est utilisée dans les problèmes de nervosité, d’anxiété et d’angoisse.
Référence :
1.Etude Ipsos 2010 « Innovation funnel » réalisée sur 2000 hommes et femmes de 18 à 65 ans (dont 330 entre 55 et 65 ans).
Ambre Calvi