L’ostéoporose est une maladie caractérisée par une fragilité excessive du squelette, due à une diminution de la masse osseuse et à l’altération de la micro-architecture osseuse. On estime à 200 millions le nombre de personnes souffrant de cette pathologie dans le monde. C’est une maladie fréquente chez les femmes après la ménopause car la masse osseuse diminue avec l’âge et avec la carence en hormones féminines (oestrogènes). Elle touche moins souvent les hommes que les femmes et exceptionnellement les enfants.
Il s’agit d’un facteur de risque important de fractures osseuses (en particulier du col du fémur). L’ostéoporose peut résulter soit de l’acquisition d’un capital osseux insuffisant à la fin de la croissance, soit d’une perte osseuse excessive lors de la vie adulte. Des facteurs génétiques, nutritionnels et environnementaux déterminent l’acquisition du capital osseux pendant la croissance, puis la perte osseuse.
Signes et symptômes
L’ostéoporose ne s’accompagne habituellement d’aucun signe. Sa présence majore très sensiblement le risque de fracture. Ce risque est inversement corrélé à la densité minérale osseuse. On peut suspecter une ostéoporose chez une personne âgée, voûtée et dont la taille diminue. En effet, ces signes peuvent signifier la présence de fractures vertébrales et de tassements successifs asymptomatiques.
Personnes à risque
- Les personnes âgées de plus de 65 ans.
- Les personnes ayant déjà subi un écrasement des vertèbres.
- Les personnes ayant des antécédents familiaux de fractures causées par l’ostéoporose.
- Les femmes ayant eu une ménopause précoce (avant l’âge de 45 ans), pour des raisons naturelles ou après l’ablation de leurs ovaires. Plus le temps d’exposition du corps aux œstrogènes est long, plus le risque d’ostéoporose diminue. Les œstrogènes contribuent au maintien de la masse osseuse.
- Les personnes atteintes d’une maladie qui interfère avec l’absorption du calcium dans l’intestin (par exemple, la maladie de Crohn).
- Les femmes qui ont eu des périodes d’aménorrhée de plus de six mois (hormis la grossesse).
- Les personnes atteintes d’hypogonadisme.
- Les personnes qui ont déjà suivi un traitement aux corticostéroïdes par voie orale durant plus de trois mois.
Dans une moindre mesure, les personnes atteintes d’arthrite rhumatoïde ou ayant déjà fait de l’hyperthyroïdie. Ces deux facteurs sont considérés comme mineurs.
Des solutions naturelles
UniK2® est une vitamine K2 MK-7 brevetée, d’origine naturelle (issue du natto japonais) aux effets cliniquement démontrés sur la santé des os et présentant une excellente biodisponibilité.
La plupart des études épidémiologiques indiquent que la carence en vitamine K est associée à une réduction de la densité osseuse (1) et à une augmentation du risque de fractures (2).
La vitamine D3 dont le rôle dans le métabolisme du calcium est essentielle pour l’organisme, contribue à gérer le taux de calcium sanguin en permettant d’améliorer son absorption au niveau des intestins et de limiter son élimination par les urines. Elle joue un rôle dans le dépôt et le retrait du calcium sur les os. La vitamine D permet donc d’assurer une minéralisation optimale des tissus notamment des os et des cartilages.
Le bambou contient de la silice, un constituant des articulations et des os qui intervient dans le métabolisme du calcium et sa fixation osseuse en stimulant la synthèse du collagène osseux. Le bambou permet de lutter contre la déminéralisation osseuse qui se manifeste en cas d’ostéoporose.
Le bisglycinate de calcium est un dérivé de calcium ayant un excellent taux d’absorption. Le calcium participe à la construction et au maintien de la masse osseuse.
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Références scientifiques :
1. Booth SL, Broe KE, et al. Associations between vitamin K biochemical measures and bone mineral density in men and women. J Clin Endocrinol Metab. 2004 Oct; 89(10):4904-9.
2. Vermeer C, Shearer MJ, et al. Beyond defi ciency: potential benefi ts of increased intakes of vitamin K for bone and vascular health. Eur J Nutr. 2004 Dec; 43(6):325-35